Ce qu'il faut retenir de la nuit à Melbourne : pas de surprise chez les femmes, plus de Français chez les hommes Tout sourire, Serena Williams est en huitièmes de finale. Cette critique est réservée aux abonnés Déjà abonné ? Il y en avait le soir pour le souper et encore un saladier plein pour le lendemain. Parfois, l’été, contents d’avoir ouvert la fenêtre. Tout simplement réussi et c'est ce mot, simplement, qui est la réussite de Laurent Petitmangin... Bravo. Et l’air toujours frais, même en plein été. Ce premier roman de Laurent Petitmangin vaut un bon essai politique. Laurent Petitmangin. Quand il y a eu match la veille, je lui lis les notes du journaliste. Quarante embauches d’un coup. Ce dimanche-là, on est tous restés chez nous. Je savais que les autres m’attendaient au bistro pour le café et les brioches que j’avais commandés la veille. Là, avec ce qui se passait, ça ne m’était jamais venu à l’idée   de lui dire merci. Pourquoi ? Villerupt, en Lorraine. Même le curé avait eu du mal. Juste un « ça s’est bien passé, pas de bêtises ? Revenir entier. Il s’était excusé d’être arrivé en retard, mais  ça roulait mal depuis la sortie de la nationale. C’était pas la vraie vie, pas comme ça que sa vie était faite en tout cas. C’est mon dimanche matin. Si à la fin du chapitre vous n'avez pas le coeur brisé, c'est que vous n'en avez pas ! Un truc de film, un truc pour les autres. On sait ce qu’on vaut et on sait s’en contenter. Jusqu’au curé qui est passé plusieurs fois la bénir en douce. Un roman fort et marquant parce que riche d'humanité ! Les dernières semaines, quand elle savait que c’était fini, elle n’avait pas fait le tour de sa vie et s’était abstenue de tout conseil. Et puis me laisser aller. Le lecteur se retrouve en apnée. Un premier roman magistral et d'une justesse folle, sur l'immense difficulté de la paternité et la transmission. La moman n’était pas bravache. Où étaient rangées les affaires d’hiver ? Nombre de pages : 192 . Qui sait dire en une page la merde qui noie nos mines et nos vies. L’hôpital. Dans « Ce qu’il faut de nuit« , Laurent Petitmangin décrit le monologue d’un père racontant sa paternité qui se complique au fil du temps pour devenir inextricable. «Ce qu’il faut de nuit», un jeune mec plus ultra. Mais j’avais plaisir à fumer avec ce jeune gars comme si de rien n’était. Les autres diront une vie de merde, une vie de drame et de douleur, moi je dis, une belle vie.". C’est elle qui prenait aussi les photos, alors elle variait les poses, histoire que la page Villerupt – Audun-le-Tiche n’ait pas chaque jour la même gueule. Et trouvait encore le temps de nettoyer derrière lui. Presque un terrain de riches. « Comme les jours d’avant, pas plus pas moins. Ce qu'il faut de nuit, tout en pudeur nous conte ce que c’est que d'essayer d'élever un enfant, de bâtir un homme malgré les failles et en dépit d'une vie qui roue de coups. Ce qu’il faut de nuit est son premier roman. Un premier roman remarquable et très émouvant. Une très belle et poignante émotion nous étreint à la lecture de ce premier roman. Date de sortie : Août 2020 . Je n’aimerais pas devoir insister, devoir le secouer, mais cela n’est jamais arrivé. C'est une histoire de famille et de convictions, de choix et de sentiments ébranlés, une plongée dans le cœur de trois hommes. Paris - paru en 2020 Un père élève seul ses deux fils, Fus et Gillou. L'amour d'un père, l'amitié et la solidarité traversent l'histoire de ces vies beaucoup trop silencieuses. Qu’est- ce qu’on ferait dimanche ? Et encore, je me demande si certains, au fond d’eux-mêmes, n’auraient pas préféré que ça pète un bon coup. Le jour où on avait enfin formé les contremaîtres et les opérateurs, le jour où on avait enfin trouvé le moyen de traiter à peu près correctement le foutu solvant, rien du tout, quelques centilitres par jour qui s’échappaient et qui bloquaient l’accréditation, on était à nouveau en pleine crise, celle des banques, celle qui allait achever la ligne et ses résidus en deux coups les gros. Je ne l’attends pas, il arrive qu’on a déjà presque fini de dîner avec son frère. Jérémy et Fus se sont vus jusqu’au collège. Le professeur avait juste haussé les épaules quand je lui avais demandé comment s’étaient passées les dernières heures. » Fus grand dès ses treize ans. Vous couchez pas trop tard, si tu as besoin tu vas voir chez le Jacky, ils savent que vous êtes seuls ce soir. Texte puissant sur la petite vie des petites gens, sur le hasard malheureux et sur l'amour taiseux mais teigneux, ce roman m'a battue au fer et laissée pantelante. Editeur: Manufacture de livre éditions (août 2020) Collection: LITTERATURE. Pas plus pour l’autre. A l'occasion du Salon "Le Livre sur la Place", Laurent Petitmangin vous présente son ouvrage "Ce qu'il faut de nuit" aux éditions la Manufacture de livres. La narration est menée à la première personne dans un parler populaire et dès les premières pages l'empathie avec ce père veuf qui doit prendre soin seul de ses deux fils est forte. Je m’étais dit que ça marquerait le coup de passer à l’église. Soulagé quand même. Il nous reste les autres, les besogneux, ceux dont on se dit vingt fois par match, vivement qu’ils dégagent, j’en peux plus de leurs conneries. C’est comme ça. Il faisait ce qu’il fallait. Qu’est-ce qui pouvait bien arriver le jour d’un enterrement ? Leave a Reply Annuler la réponse. J'ai eu les larmes aux yeux dès la 12ème page ! » et puis repartent. Un premier roman comme un coup de poing. » Une belle blonde qui faisait son métier proprement avec les mots d’espoir qui vont bien. août 2018. Une histoire d'amour, de famille. Beau, résolument, intensément beau. Créé le 25/08/2020. Edité par la Manufacture de livres. Au sortir du cimetière, un jeune, le fils d’un des gars de la section, m’avait abordé. La plupart ne travaillent pas le lundi. Pas toujours les mêmes. On lui mentait, on lui disait qu’elle avait meilleure mine et que le professeur, croisé dans le couloir, avait l’air content. Ceux au collège ont eu beaucoup moins de patience. Touchant, lucide, Ce qu'il faut de nuit est un hymne au courage, à la constance, à l'amour filial, à la vie, à la mort. L'auteur de l'article : ... Ils choisissent ce qui a de l'importance à leurs yeux, ceux qu'ils sont en train de devenir. Le finaliste en titre Dominic Thiem, dans un jour sans, a sombré face à Grigor Dimitrov. Fus l’aimait bien. L’amour ne préserve pas de … Même quand Gillou n’arrivait pas à dormir, qu’il avait peur, qu’il voulait sa mère. Elle avait inscrit Fus au latin, parce que c’étaient les meilleurs qui faisaient latin, ça servait à bien comprendre la grammaire, c’était de l’organisation, comme les mathématiques. À ne pas aller en cours. Fus s’en était toujours débrouillé. Ce qu’il faut de nuit, dont la langue épurée n’entrave pas l’émotion, est l’histoire d’une rupture filiale au temps de la mort des idéaux. Si elle en avait la force, elle se levait et leur faisait des gaufres ou des beignets. » Voilà l’oraison. Plus besoin de déplier les tables comme on le faisait vingt ans avant. Médecins aussi, mais surtout ingénieurs à la SNCF. Une réussite, j'ai adoré, dévoré, pleuré ... merci Laurent Petitmangin ! Il ne nous connaissait pas trop. Certains, comme le Mohammed, viennent me serrer la main, « inch’Allah on leur met la misère, il est en forme le Fus aujourd’hui ? Il a vingt-trois ans, Jérémy, un an de moins que Fus. Mis à jour le 25/08/2020. Une histoire faite de petits riens, qui font une belle vie. Ce qu’il faut de nuit a devancé dans le cœur du jury lycéen le vainqueur du prix Femina 2020, Serge Joncour, lui aussi en compétition. Elle s’était démenée pendant trois ans avec son cancer. Faire gaffe aux courts-jus. Les gens m’avaient parlé de moi, des enfants, de ce qu’on allait faire maintenant, presque pas d’elle. Impossible de ne pas dévorer d’un trait ce court texte déchirant et beau. Photo : DR. La maison d'édition : La Manufacture de livres: La Manufacture de Livres, éditeur indépendant, regroupe des auteurs français contemporains. Elle a mis du temps cette chaîne à se lancer, peut-être trop de temps. Laurent Petitmangin, Ce qu’il faut de nuit, La Manufacture de livres, 2020 Par François Lechat. Un trio d'hommes ébranlés dans leurs convictions profondes. Si cette histoire bouleverse à ce point, c’est parce que Laurent Petitmangin a trouvé le style juste pour la raconter. Peut-on pardonner à son enfant lorsque celui-ci s'éloigne des valeurs qu'on lui a transmises, jusqu'à commettre le pire ? Penché sur la main courante, à l’écart des autres. ». Il dit avec justesse, ce que signifie être père. Ce qu'il faut de nuit . Ce qu’il faut de la nuit, de Laurent Petitmangin, 187 p, 16, 90 €, La Manufacture de Livres. Il y a ce moment avec les cris des gens, le bruit des crampons qui se collent et se décollent de l’herbe, le coéquipier qui râle, qu’on ne trouve pas assez tôt, pas assez en profondeur, cette rage gueulée à fond de gorge quand ils marquent ou prennent le premier but. Jérémy. Elle s’était contentée de nous regarder, le peu de temps où elle était consciente. J’ai ma place. Magnifique texte qui m'a ému, on va dire que pour le Goncourt, c'est fait... Un roman entamé ce matin et lu d'un jet. Écouter le livre audio Ce qu'il faut de nuit de Laurent Petitmangin, narré par Pierre-François Garel Un premier roman bouleversant qui vous hante longtemps après que vous l'avez reposé, la gorge nouée. Plus capable de m’asseoir à côté de lui, quand il était en larmes sur son lit, plus capable de lui mentir, de lui dire que cela allait bien se passer pour la moman, qu’elle allait revenir. Enfin le texte a été sélectionné parmi les titres proposés au Festival des premier roman de Laval et Chambéry et fait partie de la sélection de Rentrée Littéraire France Inter/Le Point, de l'opération Attention Talents ! Ce qu'il faut de nuit. Ils attendaient qu’elle se rebiffe, qu’elle dise comme les autres, qu’elle allait lui pourrir la vie à ce cancer, le rentrer dans l’œuf. « Gros,   tu me laveras les maillots ? Juste capable de leur faire à manger, à lui et à son frère. La petite cahute qui sert aux apéros et à la remise du matériel a été repeinte l’année dernière. Ce roman fait partie des sélections de plusieurs autres prix Littéraires (Prix Libr'à nous, Prix des Libraires en Seine, Prix du Premier roman de Chambéry, Prix des Lecteurs de Saint-Germain, Prix des Lycéens de la ville de Sceaux, Prix littéraire des lycéens et apprentis de la région Paca, Prix Jeunes Mousquetaires de Nogaro, Prix des Lecteurs de Notre Temps, Prix Hors-Canada, Prix littéraire des étudiants internationaux, Prix Un livre, une commune, Prix Louis Thuillier, Prix de la Maison du livre de Rodez, Prix littéraire On', Prix Étincelles de la Médiathèque de Francheville, le Prix du premier roman de la Literaturhaus Hamburg, Prix des Lecteurs de Pouzauges, Prix Quebec-France, Prix des lecteurs de la Médiathèque de Meudon, Prix La Passerelle 2021, Prix littéraire des étudiants internationaux, Prix des lecteurs de la ville de Paris, Prix des lecteurs de Corse...). Ce premier roman, bref et tranchant, fait entendre une voix singulière, socialement située. C'est le fameux monde d'après. Ils ont fait comme si de rien n’était. Un premier roman fort et sensible, qui vous emporte. Latin et allemand. Il paraît qu'un grand texte est universel, qu'il sait parler à toutes et à tous. Comme les dernières recommandations. Aucun de chez nous n’a voté Macron. Une vingtaine de gamins qui étaient arrivés en mars-avril avec les parents tout juste embauchés et qui avaient réamorcé une classe supplémentaire de cours élémentaire et une de cours moyen dès la rentrée suivante. Grand lecteur, il écrit depuis une dizaine d’années. Ils agissent comme des hommes. Format : epub . ISBN: 9782358876797 . Il avait des excuses toutes trouvées. Il s’appelle Fus depuis ses trois ans. Sauf que celui-ci existe vraiment. Le temps où les maîtres des petites classes l’aimaient bien. Magnifique et déchirant. Un roman qui touche parce qu'il parle de l'équilibre familial, de la perte, de la difficulté de communiquer, de la transmission, etc. Le terrain est bien éloigné de tout, cadré de peupliers, le parking en contrebas. Un moment qui ne m’apporte rien d’autre que d’être là, qui ne résout rien, rien du tout. ENORME coup de cœur ! Au début, les deux-là ont été potes. La vie s’emballe. C’est des bonnes places. On se les fait sucer dès qu’ils brillent un peu. À tout compter, tant qu’ils mouillent le maillot, même avec des pieds carrés, ils peuvent bien rester. Elle avait de l’ambition pour les deux. Il y avait l'avant. C'est un premier roman qui est rempli de beauté, tout simplement bouleversant ! Dans une langue en juste adéquation avec la modestie et la dignité de ses personnages, Laurent Petitmangin dépeint une France marginalisée, éloignée de tout, qui n’intéresse personne. Roman court, pas un mot de trop, sur la paternité, la confiance, la vie qui coule sans qu’on en tienne les rênes. Bon-Secours, le dépôt SNCF de Longwy, parfois celui de Montigny, la ligne Aubange – Mont-Saint-Martin, le triage de Woippy, le pavillon, la section et de nouveau Bon-Secours. C’est haut une caténaire. Les mots sont simples, les chapitres courts, c'est un roman qui se lit bien et très vite. Une leçon de vie dont il faut prendre acte. On ne parle pas. Gillou était déjà rentré avec le Jacky. Rien n'est en trop, rien n'est gratuit dans la narration. Les années passent et les enfants grandissent. Si on l’a pas inaugurée vingt fois cette ligne, on l’a pas inaugurée. Ce qu'il faut de nuit Petitmangin Laurent Rentrée littéraire 2020-A découvrir-LA FEMME A PART – Vivian Gornick 24 novembre 2019 LE TRAM DE NOËL – Giosuè Calaciura 19 janvier 2021 MA REINE – Jean-Baptiste Andrea 2 janvier 2020. Le match terminé, Fus ne rentre pas tout de suite. Ce qu’il faut de nuit est son premier roman. Faites de la place sur vos étagères de bibliothèque, Laurent Petitmangin débarque et il vous offre un grand roman. ». On lit ce livre la boule au ventre et on le referme plein d'empathie et la gorge serrée. Dans un style un peu brut qui sonne juste, Laurent Petitmangin nous offre là un premier roman qui marque, émeut, bouleverse. Une écriture directe, un livre poignant et modeste, bouleversant comme le poème de Supervielle qui donne son titre à ce premier roman. Ce qu'il faut de nuit raconte l'histoire d'un père qui élève seul ses deux fils. L'auteur pose aussi une question fondamentale : peut-on tout supporter au nom de l'amour paternel, au nom de l'amour fraternel ? Je suis encore sous le choc. Et puis Fus a commencé à moins bien travailler. Voilà comment ont filé ces trois ans. Une écriture sobre et juste. Attentifs aux conseils de la maîtresse. critique, avis sur Ce qu'il faut de nuit de Laurent Petitmangin . Personne ne parle, tant qu’elle n’a pas coupé huit belles parts, bien égales. Deux frères, deux voies. Si on parle, c’est du match de Metz la veille. Un beau roman réaliste qui nous conte l'amour paternel sans aller dans la démesure mais en gardant une profonde sincérité et une grande sensibilité. Ses carnets étaient moins bons, mais qu’est-ce que ça pouvait faire ? Bluffant.Tout y est, le style, l'histoire, l'émotion. Je l’ai regardé dégringoler petit à petit. De moi peut-être. C'est un récit où les émotions explosent, un tourbillon qu'on lit presque en apnée. Une histoire d'amour. Pas le Jérémy. Les années passent, et les enfants grandissent. C’est mon tour. Justesse du ton, personnages plus vrais que nature, peinture sociale affutée; un premier roman impressionant. ISBN : 978-2-35887-679-7. « La Lorraine est industrielle et elle le restera. Il fait ce… Un livre crépuscule, un homage filial. Un peu soulagés quand même qu’elle ne soit pas passée. Ils choisissent ce qui a de l'importance à leurs yeux, ceux qu'ils sont en train de … parce que c'est un grand texte. Un portrait de père extrêmement touchant ! L’écriture gracile, aérienne, est empreinte de tendresse et s’abstient du misérabilisme ambiant. Il a largué les derniers copains du bon temps. Pourtant trois ans d’hôpital, de chimio, trois ans de rayons. Un roman tout en pudeur et en retenue aux formidables éditions de la Manufacture de livres. Sa mère. Un premier roman prometteur ! Pas envie qu’elle parte comme ça, si vite. Bouleversante, l’écriture parle avec énormément de pudeur des sentiments familiaux. Nous discutions de tout et de rien. Ce livre met à nu les sentiments contrariés de ces trois personnages, dans une incapacité à se parler, à se comprendre. Jérémy tout court, car il n’est pas du coin et nous reprend à chaque fois avec notre manie de mettre des « le » ou des « la » partout. L’usine aurait pu cracher des matières radioactives, je ne pense pas mentir en disant que le village n’en avait rien à faire, qu’on aurait préféré boire une eau de chiottes plutôt que de retarder encore le lancement de cette ligne. Et pourtant il ne ramenait pas beaucoup de monde chez nous. Ce qu'il faut de nuit. cette présentation du roman destinée aux professionnels avec quelques mots de présentation de l'auteur. Personne ne l’appelle plus autrement. Suffisamment vicieux quand même pour lui mettre un petit coup. Déjà lauréat du prix Stanislas pour ce premier roman, Laurent Petitmangin signe un bijou bouleversant sur les émotions et les certitudes ébranlées d’un père. Toute la région, le préfet, le député, toutes les classes d’école sont venus lui faire des zigouigouis. Il tacle. la boutique éphémère de La Manufacture de livres en cliquant ici. J'en ai fait l'expérience : tout revient progressivement à la normale, ou presque. Une grande claque ! Les blogs polar en ont déjà parlé, c’est une des découvertes de la rentrée : Ce qu’il faut de nuit de Laurent Petitmangin. Car il fallait bien nourrir mes deux zèbres, tenir bon sans boire jusqu’à ce qu’ils se couchent. Et chaque fois, Laurent Petitmangin trouve le mot juste. Une voix paternelle bouleversante et désespérée. Un livre fort, d'une finesse inouïe sur des sujets sensibles. Une tragédie de l’amour inconditionnel, avec cette phrase, bouleversante : «C’était mon fils. Un roman qui saisit et sonne le lecteur, comme une rixe entre deux bandes dont personne ne sort vainqueur. Mais elle ne le disait pas. Lisez « Ce qu'il faut de nuit » de Laurent Petitmangin disponible chez Rakuten Kobo. La voix d’un père qui élève seul ses deux enfants, en Lorraine, dans un milieu modeste où l’on se tient les coudes et on garde la tête haute en allant voir l’équipe locale de foot. Un premier roman déjà en cours de traduction dans de nombreux pays (Allemagne, Italie, Pays-Bas, Angleterre, Japon, Corée, Espagne, Etats-Unis, Portugal...) et considéré comme une véritable révélation. La manufacture des livres. Programme, critiques, sélections : l'avis de Télérama sur les films, séries, documentaires et magazines, de plus de 300 chaînes de la TNT, du câble et du satellite. Mon peu d’énergie, je l’ai gardé pour continuer à travailler, continuer à faire bonne figure devant les collègues et le chef, garder ce foutu poste. Ce qu’il faut de nuit bruit de thèmes universels, de la perte des repères sociaux aux conflits générationnels. La plupart des librairies proposent actuellement livraisons ou service "clique et collecte", si ce n'est pas le cas chez vos libraires, vous pouvez commander ce titre sur la boutique éphémère de La Manufacture de livres en cliquant ici. Et pourtant, ce ne sont encore que des gosses. de Cultura ainsi que des sélections de rentrée de la Fnac, de Decitre et du Furet du Nord.
Incendie Notre-dame : Enquête, Merci Pour Le Chocolat Résumé, Comment Prononcer Huée, As Roma 2003, Exposé Sur Les Consoles De Jeux, 6 Qui Prend à 2, Masque Maison Volume Cheveux Bouclés,